La communauté de l'anneau tombe

Gimli avait essayé tant bien que mal de retenir Saerwen, mais elle était partit avec Legolas. Tout les deux. Partit. Il ne reste que lui et Aragorn. La communauté de l'anneau commençait à tomber à cause de se maudit Saruman ! Le nain était assied à côté de son compagnon, qui était blessé, ne sachant que faire pour le guerire. La femme elfique le savait, elle, mais elle n'était plus là. Il redoutait le pire, pour eux, s'ils restaient ici. Il fallait qu'il aille chercher de l'aide. Il aida son ami l'homme à se lever.

Gimli - Il faut retourner voir Theoden.

Aragorn était resté allongé sur le sol , lui aussi en train de désespérer . Mais ils ne pouvaient pas simplement rester là , sans rien faire , et laisser tomber la cité du Rohan ! Il fallait faire quelque chose . Aragorn avait promis à Gandalf , avant qu'il parte , qu'il veillerait à ce que les défences du Rohan tiennent , que la cité tiennent bon . Et elle tiendra . Gimli l'aida donc à se relevé .

- Je sais Gimli . Il le faut mais , nous n'avons plus de chevaux et la cité est assez loin .

C'est alors qu'ils virent deux chevaux arriver : l'un était chevauché par une belle dame au cheveux blond , qui volait au vent comme une rivière dorée . L'autre cheval la suivait au pas . Quand elle arriva près d'eux , Aragorn vit que c'était Éowyn .

Éowyn avait laissé Gwen au château , s'étant révelé finalement trop faible pour chevaucher . La jeune elfe était déçu mais celle-ci savait que c'était pour son bien . La dame du Rohan avait facilement trouvé le nain et l'homme dans les prairies ''à découvert'' . Il y avait des traces énormes sur le sol et Éowyn craignait le pire . Quand elle vit qu'Aragorn était blessé , elle lui demanda :

- Croyez-vous être capable de chevaucher , Messir Aragorn ?

(A)- Bien entendu , gente dame .

Elle baissa la tête , en signe de révérence . Elle s'adressa au nain par la suite .

- Et vous maître nain , croyez-vous être capable de mettre votre honnorable orgueil de côté et de chevaucher avec moi , sur ce cheval ?

Aragorn et Éowyn se jettèrent un petit regard et un sourire .

Gimli, insulté, lui lança un regard de dédain, marmonant des paroles incompréhensibles. Il s'approcha du cheval, leva la tête avec dignité.

Gimli - Mais bien sûr ! Nous, les nains, nous n'avons aucun orgueil !

- Mais bien sur , maître Gimli , fils de Gloïn , j'en ai jamais douté !

Elle fit donc monter Gimli sur le cheval , derrière elle . Ils attendirent Aragorn qui , malgré sa blessure , monta facilement sur son cheval , Brego , qu'Éowyn avait retrouver plus loin .

Ils se mirent en route et quelques jours plus tard , ils arrivèrent à Meduseld , ou Aragorn fut complètement rétablit .

Aragorn alla donc voir le roi , inquiet de l'avance qu'avait Saruman sur eux .

- Mon seigneur . Saruman a enlevé deux de nos compagnons et il sait que nous sommes faibles . Nous devons suivre le plan que vous avez mit sur pied , certes , mais dans les heures qui suivent .

(T)- Dans les heures qui suivent ! s'exclama le roi . Mais c'est bien trop tôt !

- Sauf tout le respect que je vous doit seigneur , bientôt , il sera trop tard . L'armée de Saruman est en route . L'Isengard s'est vidé . Et les troupes d'Ourouk-hai ne sont la que pour une chose : détruire la race des hommes .

Le roi parrut appeuré et hésitant à la fois . Quelques heures plus tard , finalement , toute la cité se vidait et se dirigeait vers la Gouffre de Helm . Le roi Théoden était au front , suivit d'Aragorn , Gimli et Éowyn et à l'arrière , toute la cité du Rohan , femmes , hommes , enfants et vieillards .

Gimli chevauchait sur le beau cheval blanc de Legolas , s'ennuyant un peu de son ami . Aragorn le suivait par derrière avec Brego et la belle dame du Rohan tenait les rènes du cheval de Gimli . Soudain , un cor fut entendu au loin , derrière une petite colline . Des cris aussi se faisait entendre . Un soldat arriva par dessus la colline verte .

(S)- Des éclaireurs de Saruman ! Ils chevauchent sur des loups de l'Isengard ! Nous sommes attaqués !
Le peuple de Théoden commencèrent à paniquer et le roi prit la parole .

(T)- Que tout les soldats viennent avec moi ! Nous allons combattre ! Le reste , aller au Gouffre de Helm !

Il se baissa légèrement vers Éowyn .

(T)- Dirige les vers le Gouffre ! Guide-les !

(É)- Je peux me battre !

(T)- Non ! Je t'en prie , fait cela pour moi .

Elle baissa la tête et continua à avancer avec les gens effrayé . Son dernier regard se posa sur Aragorn , qui disparu derrière la colline .

Eowyn eut le temps de faire partir femmes et enfants vers le Gouffre quand les loups, chevauchés par des Orcs, arrivairent. Gimli, maintenant au sol, sortit sa hache, les hommes sortant leurs épées, et ils se mirent tous au combat. Comme il était plus petit, il avait un peu de difficulté ... Disons ... Alors qu'il venait de tuer un loup et son maître, un homme qui venait de tuer lui-même l'une de ses bêtes et son cavalier, les cadavres d'un loup et d'un orc lui tombairent dessus, l'immobilisant ainsi. Il avait beau ce débattre, il était prit.

Aragorn vit son compagnons coincé sous deux carcasse et vit un autre loup et son cavalier s'approcher du nain . Sur le sol , il accourut vers le cavalier et lui sauta dessus . Celui-ci perdit contrôle de son loup et se dirigèrent tout droit vers le précipice . Aragorn voulut sauter du loup mais son bras resta coincé dans les cordages de la selle de l'animal . L'orque , étant gravement blessé par Aragorn , tomba en bas du loup , mais Aragorn n'eut pas cette chance et tomba en bas du ravin , le loup le suivant .

Gimli fut finalement libéré, à la fin de la bataille, par des soldats. Tous fières d'avoir réussi, ils commençairent à se tapper dans la main. Seul le nain cherchait son ami Aragorn des yeux. C'est alors qu'il vit un orc au sol, rigolant. Il l'attrapa par la gorge, et celui-ci lui révèla qu'Aragorn était tombé en bas, et mourrut. Le nain s'approcha alors au bord du gouffre, qui menait à une rivière, et il vit une chose scintiller. Le collier qu'Arwen avait donné à Aragorn. Il le prit, les larmes aux yeux, rejoint par le roi Théoden, peiné lui aussi par cette tragédie.